Dans l’univers du SEO, il n’est plus possible d’abuser du même mot-clé au sein d’une page web.
Si vous souhaitez améliorer le référencement de votre site, vous devez travailler le mot-clé principal tout en développant votre champ lexical pour enrichir votre sujet !
Pour travailler cette approche, nous allons utiliser l’outil 1.fr.
Tester 1.frNous l’avons déjà présenté pour vous aider à trouver le titre de votre prochain article de blog, mais aussi pour améliorer votre contenu ainsi que sa position dans Google.
Nous allons voir désormais comment 1.fr parcourt les contenus de votre site selon une approche d’intention de requête en se basant sur les résultats du moteur de recherche.
Sommaire
- Comment utiliser la sémantique pour améliorer votre contenu ?
- Définir les intentions de recherche des internautes
- Enrichir votre contenu avec les champs lexicaux
1. Comment utiliser la sémantique pour améliorer votre contenu ?
Pour commencer, sachez qu’il est très important d’élargir le champ lexical autour de votre mot-clé principal.
Comment faire ? En utilisant la sémantique !
La sémantique est l’art d’utiliser les moteurs de recherche, de type Google ou Bing, pour faire comprendre le contenu de votre site internet et l’associer à vos mots clés.
Il ne suffit plus d’utiliser seulement quelques mots clés et de les intégrer dans vos pages. Il est nécessaire d’aller plus loin en utilisant des expressions complètes et pertinentes recherchées par vos futurs clients !
Les requêtes d’intention des internautes sont donc essentielles dans le référencement naturel de votre site internet ou votre blog.
Pour mieux comprendre, voici un exemple du fonctionnement de 1.fr : un internaute recherche « développeur web » sur son moteur de recherche. Il peut souhaiter plusieurs choses :
- une formation de « développeur web »
- un emploi dans le secteur du développement
- chercher à recruter un « développeur web » pour la conception de son site…
3 intentions différentes pour une seule recherche.
Pour identifier ces intentions, les moteurs de recherches les classent dans des tables d’intentions qui sont triées par une analyse sémantique.
Pour une recherche d’intention sur le mot clé « réussir » :
- Bing sera plus à même de reconnaitre des intentions associées à la conjugaison et à l’apprentissage
- Google lui, préfèrera des intentions liées à une définition, à la réussite en général, ou encore de réussir une formation ou un examen…
Il faut donc prendre en compte le moteur de recherche pour lequel vous rédigez afin de correspondre à ses attentes.
À lire aussi : Référencement web : améliorez votre SEO grâce à l’UX
2. Définir les intentions de recherche des internautes
Quand vous rédigez un article de blog ou un texte pour votre site, il faut avoir à l’esprit plusieurs questions :
- Quelles sont les intentions de recherche de ma cible ?
- Quelles sont les besoins de mes clients ?
- De quels mots-clés de longue traîne ai-je besoin pour enrichir mes textes SEO ?
- Sur quel mot clé mes concurrents sont-ils positionnés ?
Pour y répondre rapidement, 1.fr propose son outil «IDÉES DE CONTENU» pour mieux cerner les attentes et les besoins de vos internautes.
Dans le moteur de recherche, vous pourrez saisir un mot clé spécifique à votre texte pour voir apparaître les questions que les utilisateurs se posent par rapport au thème exploré.
1.fr démontre encore une fois son expertise en vous proposant littéralement des requêtes sous forme de problématique !
Pour choisir quelle problématique vous convient le mieux, il faut prendre en compte le nombre d’internautes qui posent la question, mais aussi le nombre de sites qui publient la réponse.
Une fois votre problématique choisie, il faudra déterminer les champs lexicaux à intégrer dans votre texte.
À lire aussi : SEO : comment utiliser les intentions de recherche pour votre entreprise ?
3. Enrichir votre contenu avec les champs lexicaux
Vous avez terminé de rédiger votre article.
Prenez une seconde pour bien vérifier si vous pouvez aller plus loin dans votre optimisation. Si la réponse est « oui », utilisez donc la fonction « OPTIMISER » de 1.fr !
Vous pouvez démarrer votre optimisation en rentrant l’adresse de votre page web ou en chargeant directement votre texte.
Le champ lexical proposé par 1.fr est assez riche pour vous placer au-devant de vos concurrents.
Pour cela les expressions proposées sont regroupées par affinités. Dans cet exemple vous constatez que « développeur web » est en lien avec « langages » ou « informatique ».
L’outil extrait lui-même les différents champs lexicaux appartenant au texte proposé.
Il n’y aura donc pas de risque que celui-ci vous propose des champs lexicaux aberrants sur les thèmes du voyage ou de l’agriculture. L’outil vous montre aussi les mots-clés manquants dans votre contenu.
À partir de votre texte, 1.fr va analyser les champs lexicaux et le positionnement de la page dans le moteur de recherche choisi (Google ou Bing).
Il vous donnera ensuite un score de ce que Google ou Bing comprend de votre texte.
Dans notre exemple un peu plus haut, le score est de 84% ce qui est plutôt bon ! Le champ lexical est riche et les expressions ou mots-clés de longue traîne sont bien utilisés.
N’oubliez pas que plus vous avez de pages profondes qui parlent de sujets spécialisés, plus votre page sera facile à positionner : en effet votre page utilisera des mots-clés avec peu de volume de recherche et donc moins concurrentiels !
Un autre encart tout en bas, montre à travers les yeux d’un robot d’indexation, pour qui s’adresse notre texte. De quoi vous donner un aperçu de comment votre article sera perçu par Google !
Vous avez maintenant toutes les clés en main, pour satisfaire l’intention de recherche de votre visiteur mais aussi des navigateurs web.
Lorsqu’un rédacteur souhaite rédiger un texte pour cibler une requête précise, il est nécessaire que la rédaction comprenne un champ lexical riche et exhaustif autour de cette requête.
Comparé à de nombreux outils disponibles sur le marché, 1.fr offre une expérience intuitive pour vous aider à rédiger vos contenus grâce à son outil intégré d’assistance éditoriale.
