Créer un storytelling, autrement dit raconter une histoire dans le cadre d’une campagne de communication, est une solution pour gérer du trafic.
Cependant, il faut que l’histoire soit bonne et surtout il ne faut pas commettre d’impairs. Voici les 6 erreur à ne pas faire en storytelling.
1. Préciser que vous allez raconter une histoire
Si le storytelling est aussi populaire, c’est qu’il permet d’engager votre audience. Pourquoi ? Et bien parce qu’il nous est plus facile d’intégrer une histoire que d’analyser une information.
Si vous optez pour ce format de communication, il est inutile d’annoncer à votre public que vous allez raconter une histoire. Cette démarche est très maladroite car les personnes qui vous suivent comme les autres pourraient penser que le contenu n’est donc pas d’une grande importance.
Comment faire ? Vous pouvez commencer votre storytelling par une petite phrase subtile telle que :
- Je me souviens d’une anecdote drôle, insolite… ou d’une situation qui a changé ma vision sur telle ou telle chose.
- Je connaissais cette personne…
- J’ai entendu quelque chose de très intéressant…
L’idée ici est de s’engager personnellement et de miser sur un ton informel. Vous pouvez également vous adresser directement à votre audience : Vous connaissez… Mais ce que vous ne savez pas c’est que….
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2. Opter pour un trop grand suspense
Le suspense peut être la clé du succès. D’ailleurs au cinéma, les films qui utilisent le suspense, comme ceux du célèbre Alfred Hitchcock, sont toujours très appréciés. Si le suspense est mesuré dans votre storytelling, alors il peut capter l’attention et séduire votre audience.
En revanche, il serait très maladroit d’abuser du suspense. Ce procédé est très souvent utilisé dans contenus « storytelling » de mauvaise qualité.
Si vous essayez de maintenir le suspense trop longtemps mais aussi maladroitement, vous risquez de perdre votre audience. Celle-ci n’est pas dupe et son temps est précieux.
Garder en tête que votre objectif est de diffuser un message !
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3. Proposer une histoire abstraite ou trop courte
L’art du storytelling n’est pas si simple à appréhender. Vous devez bien débuter votre histoire, inclure du suspense… mais pas trop, et vous assurer que l’ensemble soit percutant. Une histoire abstraite dessert ce type de contenu par son manque d’intérêt.
Malheureusement, dans un contexte professionnel, on essaie de gagner du temps. On ôte tout ce qui est descriptif, on essaie d’être « corporate » et les généralités s’installent. Le contenu est cruellement ennuyeux et votre audience n’est pas au rendez-vous.
Dans le même esprit évitez les contenus trop courts. A moins que ces derniers soient une suite, ils n’ont aucun intérêt et ne permettront pas aux internautes d’entrer dans votre storytelling et donc d’assimiler le message.
Une fois de plus, vous devez trouver une histoire percutante et originale. Pour séduire les personnes qui vous suivent. D’ailleurs pour ce faire, vous devez vous intéresser à elles !
Utilisez les réseaux sociaux et essayez d’identifier leurs centres d’intérêt.
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4. Donner trop d’information
Votre storytelling ne doit pas être trop courte mais elle ne doit pas non plus donner trop d’information. Si c’est le cas, vous risquez une fois encore de perdre votre audience. Chaque contenu doit répondre à une question et une seule. Même si votre histoire est longue, il ne faut pas multiplier les messages.
Le storytelling est un contenu percutant s’il est bien fait car il permet de capter l’audience justement parce qu’il est plus facile d’entrer dans une histoire que de traiter une information !
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5. Oublier le négatif
Lorsque vous vous lancez dans un storytelling, rappelez-vous que vous n’êtes pas dans le monde des « Bisounours ». Autrement dit, il est inutile de mentir à votre audience en prétendant que tout va bien dans le meilleur des mondes.
Trop souvent, le format d’un storytelling est le suivant : tout va mal jusqu’à ce que le héros ou l’héroïne de l’histoire utilise vos produits ou vos services. Ensuite tout va mieux et la vie est belle. On ne va pas se mentir, ce type de contenu est barbant !
Si vous choisissez de raconter une histoire, il ne faut pas hésiter à aborder le thème de l’échec, de la colère et même du conflit.
Vous connaissez sûrement une belle pub de Noël pour un opérateur téléphonique avec une petite fille qui appelle le Père Noël. Ce dernier n’est autre que son papa et elle le sait. C’est triste et réaliste mais c’est beau et le message est passé !
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6. Choisissez le mauvais héros
Attention au choix des personnes qui seront mises en scène dans votre storytelling. Ces dernières doivent, tout comme le contenu, séduire votre audience. Attention donc à ne pas prendre de personnages qui ne seraient pas appréciés.
Optez pour un profil en accord avec les personnes qui vous suivent, et vos clients bien sûr. Pour cela, vous pourrez une fois de plus utiliser les réseaux sociaux pour cibler le meilleur héro !
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Vous savez maintenant tout ce qu’il ne faut pas faire en storytelling.
Vous pouvez donc créer une histoire qui vous ressemble et qui plaira à votre audience ! Envie d’idées ? Et si vous preniez contact avec nos équipes de rédacteurs professionnels ?