Faut-il avoir peur de la sémantique de Google ?

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Depuis le rachat de Metaweb Technologies en 2010, il est de notoriété publique que Google s’intéresse à la sémantique et à la possibilité que les internautes obtiennent des réponses directes à leurs requêtes. Où en est ce projet aujourd’hui ?

Ce qu’il y avait avant…

La sémantique a toujours fait partie de Google. Le fait est qu’il s’agissait de petites réponses que générait Google comme la météo, des horaires d’avion, les dernières séances de cinéma ou encore des calculs mathématiques. Par exemple lorsque vous tapez « météo » sur Google vous tombez sur :

Cette polémique subit une nouvelle actualité suite aux propos d’Amit Singhal, figure de la Recherche et Développement chez Google, publiés dans le Wall Street Journal.

Les améliorations en prévision…

Selon David Degrelle, président de Première Position, une agence de référencement, ces améliorations apporteront un risque d‘impact entre 10 et 20% des requêtes tapées par les internautes. Ce risque pourra alors également impacter les autres sites sur des sujets en rapport aux différentes requêtes. Il faut voir comment cette sémantique va être intégrée et surtout comment vont réagir les internautes face à cela. A savoir s’ils vont rester uniquement sur la réponse fournie par Google ou alors affiner leur recherche avec des définitions de mots clés ou autre. Un site en particulier est visé : Wikipédia, qui est devenu une marque depuis peu et qui apparaît sur un grand nombre de recherche Google. Le but de cette mise à jour est également de concurrencer Siri d’Apple, en termes de recherches Internet intelligentes.

Enfin, le développement de Facebook en tant que moteur de recherche dans quelques mois ou quelques années est également probable. Face à Facebook, N°1 des réseaux sociaux et réseau sur lequel on passe le plus de temps, Google veut gagner des parts de marché et le concurrencer en temps de présence sur son site. Un internaute passe en moyenne 3 minutes 30 sur Google+ par mois alors qu’il passe près de 6h45 par mois sur Facebook. Il faudra suivre dans les prochaines semaines et les prochains mois l’évolution de Google et de son interface. Pour plus d’informations, l’interview de David Degrelle, sur le site Frenchweb.