Commande #23165
Rédaction d'article de Blog pour *** URL MASQUÉE *** - Un texte
Consignes générales du client :
Merci de faire attention à l'orthographe car je suis incapable d'assurer une relecture
Bonjour,
Pour le blog, www.lesnouveauxpè*** URL MASQUÉE *** , je commande l’écriture d’un billet de blog sur le sujet :
Faut il laisser pleurer un enfant ?
Voici le premier article du blog sur le sujet des violences physique et morale envers les enfants :
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Le ton devra être amical, proche, avec une pointe d’humour et d’impertinence.
On s’adresse aux futurs et nouveaux papas en gardant en tête que 70% du lectorat sera probablement féminin et prescripteur.
Ici quelques référence sur le ton, le style souhaité :
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Merci de faire attention à l'orthographe car je suis incapable d'assurer une relecture.
Voilà un brouillons avec des pistes d’écritures
Faut il laisser pleurer son bébé ?
Faut-il laisser un bébé pleurer ? Que faire quand il pleure ? Voilà une question qui fait débat et chaque génération a son avis sur la question. Comment réagir face aux pleurs d’un bébé ? Valérie Gerduyn, infirmière puéricultrice répond aux inquiétudes des parents sur ce sujet. Propos recueillis par Marjoliemaman.
Bonjour !
Je suis Christian HORVATH, créateur des Nouveaux pères, ensemble nous allons découvrir votre futur job de papa. Je suis moi même jeune père d’une petite fille, après quelques mois passé à découvrir la paternité dans mon coin, en me basant sur ce que je pensais savoir, je me suis dit que je pouvais faire mieux, plus simplement, plus efficacement et avec plus de plaisir. Aujourd’hui, je suis accros, ce rôle est le plus important et le plus épanouissant que j’ai eu à jouer, et ma récompense est une complicité etra forte avec mon enfant. Si vous êtes avec moi aujourd’hui, c’est que vous êtes passer par le même chemin que moi et êtes à la recherche d’un peu d’aide, de préparation, d’expérience. Ici vous allez trouver l’avis d’expert renommer, ceux dont les propos m’ont le plus aidé. A contrario, vous ne trouverez pas l’avis de voisinage, celui de la belle mère mais que des fait validé par la science qui fait des bons sur le sujets sur la dernière décennie. Pour vous, j’épluche les livres sur le sujets et vulgarise les sciences qui nous aiderons à comprendre comment fonctionne votre enfant. Cela vous permettra d’être un homme préparer, impliqué, proposant des solutions optimum, et votre famille ne fera que vous remercier et cela pendant longtemps.
Notre premier sujet de travaille est les pleurs des enfants ! Vous verrez c’est inévitable et cela pourrais vous rendre fou ! Alors pour ne pas en arrivez là, voilà quelques informations clés qui pour vous permettre de d’appréhender ces moments délicats avec le bon angle, de l’empathie et de la compréhension. Vous en sortirez plus zen et votre enfant grandiras mieux.
Apprenez à connaître votre enfant
Selon les propos de Valérie Gerduyn, infirmière puéricultrice : "La solution ne se trouve pas toujours rapidement. Vous allez apprendre beaucoup au contact de votre enfant, et cela va venir au fur et à mesure. On découvre son bébé et on apprend à reconnaître ses pleurs. Il ne faut pas se dire que l’on est une mauvaise mère ou un mauvais père si l’on n’y arrive pas car parfois, c’est plus difficile. Au début, quand votre bébé pleure les conseils sont plutôt évidents : commencez par le prendre dans les bras, parlez-lui et vérifier si tout va bien : On change la couche si elle est sale, on nourrit le bébé s’il a faim, etc. Parfois les pleurs continuent, on le berce doucement et on l’accompagne par la parole pour soulager ses angoisses."
Posez-vous les bonnes questions
Valérie Gerduyn : "Il y a certaines questions qui ne se posent pas toujours les parents et qui peuvent être une des raisons pour laquelle leur bébé pleure :
- Vérifiez que votre bébé n'a ni trop chaud (pas plus de 19°c dans la pièce ), ni trop froid, que la lumière n'est pas trop vive et qu'il n'a pas les fesses irritées.
- A force de rester sur le dos sans pouvoir bouger, ses cris de protestation peuvent simplement vous signaler qu'il aimerait bien changer d'horizon. Installez-le près de vous sur un tapis d'éveil ou dans un transat. Distrait par vos faits et gestes, il oubliera vite ses pleurs.
- Assurez-vous également qu'il ne souffre pas de coliques. Celles-ci se manifestent souvent après les repas, de préférence en fin de journée : Votre bébé s'agite, se tortille et son ventre peut alors être ballonné. Dans ce cas, vous pouvez tenter de l'apaiser en l'allongeant sur votre avant-bras, le ventre soutenu par votre main, qui le masse doucement."
Mais alors, faut-il le laisser pleurer ?
Valérie Gerduyn : "Non, on ne laisse pas pleurer un bébé plus de quelques minutes pour assurer sa sécurité affective. Des études ont montré qu’un bébé qu’on ne laisse pas pleurer va pleurer moins longtemps par la suite qu’un bébé qu’on a laissé pleurer. Le premier est en confiance, il a intégré qu’on ne va pas le laisser pleurer et que son entourage va agir pour son bien-être. Jusqu’à 6 mois voire un an, on ne laisse pas pleurer un bébé trop longtemps.
Il faut savoir que les pleurs d’un bébé peuvent rendre fou et que ça peut arriver à tout le monde de craquer. Si l’on se sent à bout, il faut appeler au secours ! Si l’on peut, on passe le relais à quelqu’un d’autre. Le mieux est de sortir prendre l’air et de se changer les idées. Cela ne sert à rien de rester près du bébé si l’on est trop énervé. Cela ne rassure pas l’enfant et des choses graves peuvent arriver comme une envie de le secouer, ce qu’il ne faut surtout jamais faire! Si l’on se retrouve seul avec ce genre d’idées, à bout de nerf, alors il vaut mieux laisser le bébé pleurer dans son lit où il est en sécurité, on ferme les portes et on s’isole pour faire le vide et se calmer."
A savoir !
Un bébé de 6 semaines pleure souvent, environ 3 heures par jour. Les pleurs témoignent d'une bonne santé psychique de l'enfant. Le cap des 3 mois et celui des 9 mois sont souvent difficiles à passer car il n'est pas rare que les pleurs redoublent au cours de ces périodes délicates. Tenez bon !
sources:
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Les lois naturel de l’enfant : Le stress répété et/ou prolongé de l’enfant altère ainsi gravement son câblage cérébral encore immature. Les dommages générés enclenchent un cercle vicieux : plus un enfant subit de stress, plus la maturation de son cortex préfrontal est ralentie et plus il aura de difficultés à gérer ses épisodes de stress, qui deviendront alors de plus en plus nombreux et de plus en plus difficilement contrôlables. Ainsi, prendre l’habitude de laisser un bébé ou un enfant pleurer lorsqu’il est en proie à des émotions de forte intensité, sous prétexte de lui apprendre à se calmer seul, est donc une très grande erreur : en agissant de la sorte, nous obtiendrons le contraire. Le développement de son cortex préfrontal sera freiné ou altéré, et l’enfant aura de plus en plus de mal à réguler seul ses émotions. Une fois adulte, ses aptitudes de régulation émotionnelle et de réaction aux différents stress de la vie risquent d’être moindres. Notons également qu’un enfant laissé régulièrement seul face à ses tempêtes émotionnelles finira certainement par se taire, mais ne croyez pas qu’il s’agisse là d’un signal d’autonomie ; pour préserver sa santé et ne pas se laisser envahir par ce qu’il ressent, il se coupera instinctivement de ses émotions et aura probablement de grandes difficultés à y avoir accès à l’âge adulte. Comment protéger le cerveau de l’enfant de ce stress toxique ? Il s’agit tout d’abord d’éviter de l’exposer à des situations de stress répétées et prolongées. Crier ou se disputer régulièrement devant lui est, par exemple, source d’un stress chronique dont les conséquences sur son cerveau sont considérables : la recherche montre qu’il s’imprègne d’hormones de stress comme s’il était lui-même en situation de conflit29. Tant à l’école qu’à la maison, il est important de protéger l’enfant de ce stress toxique, en apprenant soi-même – même dans les cas les plus difficiles – à réguler nos propres émotions. Ne pas soumettre l’enfant à des jugements négatifs ou à des paroles humiliantes est tout aussi essentiel : la violence verbale, les insultes, les humiliations génèrent un stress qui abîme jusqu’aux connexions impliquées dans les réseaux du langage. Les paroles blessent donc littéralement l’enfant30. Quant aux systèmes d’évaluation scolaires traditionnels, contrôles et notations, ils sont aussi d’importants facteurs de stress auxquels les enfants sont continuellement exposés. Il s’agirait donc de leur éviter ces situations verticales stressantes et normatives. Il est en parallèle fondamental d’aider l’enfant à gérer progressivement lui-même ses émotions de forte intensité ainsi que son stress. Comment ? La première chose à faire semble évidente et pourtant, on ne le rappellera jamais assez : lorsqu’un enfant est submergé par une émotion qui le dépasse – colère, douleur, tristesse, anxiété, etc. –, il est important de commencer par le rassurer par notre présence aimante et de le consoler. Lorsque nous le prenons tout simplement dans nos bras, son cerveau sécrète une molécule extraordinaire, l’ocytocine – également appelée « molécule de l’amour » –, qui a l’immense avantage de stopper la sécrétion de cortisol. Ainsi, l’ocytocine déclenchée par notre bienveillance interrompt le cercle vicieux du stress et déclenche un véritable cercle vertueux, en entraînant la sécrétion d’endorphines, de sérotonine et de dopamine. Ces molécules génèrent bien-être, calme, plaisir, enthousiasme, élan et sérénité. C’est aussi simple que cela : l’amour protège et galvanise nos structures cérébrales les plus fondamentales et les plus intimes. … Une fois les émotions désagréables dissipées par l’affection, il est fondamental d’aider l’enfant à nommer ce qu’il ressent afin qu’il puisse s’apaiser encore davantage. Les neurosciences nous indiquent que nommer une émotion permet de calmer le cerveau en état d’alerte. L’enfant retrouve progressivement son calme. En aidant ensuite l’enfant à analyser la situation et à prendre du recul, nous aidons son cortex préfrontal à se développer plus rapidement. Nous lui servons en quelque sorte de « cortex préfrontal extérieur » et de cette manière, nous protégeons le sien et participons à sa maturation. Progressivement, l’enfant sera de plus en plus à même de se calmer seul et aura de moins en moins besoin de notre aide. La recherche montre en effet qu’apporter un tel étayage à l’enfant favorise le développement de ses capacités d’autorégulation et le développement des circuits préfrontaux… Des études montrent que les adultes ayant bénéficié de ce type de soutien pendant leur enfance sont plus à même que les autres de calmer les envolées émotionnelles de leur système d’alerte. Ils gèrent beaucoup mieux leur stress, et sont donc beaucoup moins exposés à ses conséquences délétères31.« Le stress répété et/ou prolongé de l’enfant altère ainsi gravement son câblage cérébral encore immature. Les dommages générés enclenchent un cercle vicieux : plus un enfant subit de stress, plus la maturation de son cortex préfrontal est ralentie et plus il aura de difficultés à gérer ses épisodes de stress, qui deviendront alors de plus en plus nombreux et de plus en plus difficilement contrôlables. Ainsi, prendre l’habitude de laisser un bébé ou un enfant pleurer lorsqu’il est en proie à des émotions de forte intensité, sous prétexte de lui apprendre à se calmer seul, est donc une très grande erreur : en agissant
de la sorte, nous obtiendrons le contraire. Le développement de son cortex préfrontal sera freiné ou altéré, et l’enfant aura de plus en plus de mal à réguler seul ses émotions. Une fois adulte, ses aptitudes de régulation émotionnelle et de réaction aux différents stress de la vie risquent d’être moindres. Notons également qu’un enfant laissé régulièrement seul face à ses tempêtes émotionnelles finira certainement par se taire, mais ne croyez pas qu’il s’agisse là d’un signal d’autonomie ; pour préserver sa santé et ne pas se laisser envahir par ce qu’il ressent, il se coupera instinctivement[…] »
Notes de: Céline Alvarez. « Les Lois naturelles de l'enfant. » iBooks.
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AR18-21281 a été choisi pour la rédaction de ce texte.