Commande #76661
Récit de rencontre avec le musée archéologique à Arlon - Un texte
Consignes générales du client :
Dans les travaux précédents, mon groupe a dû écrit une lettre pour organiser un voyage scolaire dans le musée archéologie à Arlon. Nous devions donner les arguments pour lesquels nous voulions visiter le musée et aussi trouver des arguments contre le musée et les réfuter. Cette fois-ci, il s'agit d'écrire un récit de rencontre avec une œuvre culturelle.
● Définition
Genre écrit relevant des domaines scolaire ou social à dominante informative et narrative. Il répond à un contrat d’information où un je met à distance son expérience culturelle pour en communiquer les bénéfices ou les désagréments à un tu désireux de les connaitre.
NB : L’œuvre culturelle doit être envisagée dans son sens le plus large : texte littéraire bref ou long, œuvre d’art (peinture, sculpture, etc.), film, musée, exposition, visite, rencontre avec un artiste, etc.
● Contrat de communication:
Le récit d’expérience a une visée d’« information » (relater, évaluer) : le je veut mettre à distance son expérience et la communiquer au tu. Le je est légitimé dans sa position par son savoir d’expérience, le tu se trouve dans la position de « désirer savoir » parce qu’il n’a pas pu faire la même expérience individuelle que le je, voire ne l’a pas vécue (méconnaissance de l’œuvre culturelle). Même si l’appréciation est motivée par des arguments, le récit d’expérience ne vise pas prioritairement à convaincre le tu ou à le faire adhérer au point de vue du je. Le caractère personnel du genre implique le respect d’une certaine authenticité, une réflexivité du je ainsi qu’une recherche d’intelligibilité pour le tu qui n’a pas vécu la même expérience.
1 FESeC. (2015). Genres. Description, grilles d’évaluation et exemples. Bruxelles, Belgique : FESeC : 71.
● Caractéristiques formelles
- Énonciation ancrée dans la situation de communication.
- Structure discursive à dominante informative/narrative avec une séquence argumentative pour motiver l’appréciation
- Organisation :
● présentation de l’œuvre : reproduction intégrale de l’œuvre (œuvre courte) ou éléments du paratexte de l’œuvre (œuvre longue) avec éléments d’identification ou données diverses permettant d’identifier l’œuvre ;
● récit de la rencontre et du contexte (cadre, intention, conditions de réception, etc.) ;
● argumentation de l’appréciation.
- Procédés pour développer l’argumentation :
● raisonnements de type illustration : recours à des critères de jugement fondés sur des valeurs esthétiques (le beau / le laid, l’originalité ou le caractère stéréotypé, l’harmonie ou l’éclatement, etc.), affectives (les plaisirs / les déplaisirs, les émotions, le sensible, etc.), pragmatiques (l’utile, le préférable, l’efficace, etc.), morales (le bien / le mal, la conformité
/ la transgression, l’engagement, la liberté, la solidarité, etc.) et épistémiques (le vrai / le faux, le pertinent / le non pertinent, etc.) illustrées par des caractéristiques de l’œuvre ;
● raisonnements de type comparaison avec d’autres expériences ou œuvres.
- Les motifs d’appréciation de l’œuvre culturelle : en fonction de la nature de l’œuvre, voici une liste non exhaustive de motifs d’appréciation :
● aspect économique (couts liés à l’œuvre) ;
● aspect pragmatique (durée, accessibilité, etc.) ;
● aspect didactique (adéquation pour un public scolaire) ;
● aspect culturel (connaissances apportées) ;
● aspect esthétique (caractéristiques de l’œuvre) ;
● etc.
- Mise en page type (conventions de la lettre).
Dans les travaux précédents, mon groupe a dû écrit une lettre pour organiser un voyage scolaire dans le musée archéologie à Arlon. Nous devions donner les arguments pour lesquels nous voulions visiter le musée et aussi trouver des arguments contre le musée et les réfuter. Cette fois-ci, il s'agit d'écrire un récit de rencontre avec une œuvre culturelle.
● Définition
Genre écrit relevant des domaines scolaire ou social à dominante informative et narrative. Il répond à un contrat d’information où un je met à distance son expérience culturelle pour en communiquer les bénéfices ou les désagréments à un tu désireux de les connaitre.
NB : L’œuvre culturelle doit être envisagée dans son sens le plus large : texte littéraire bref ou long, œuvre d’art (peinture, sculpture, etc.), film, musée, exposition, visite, rencontre avec un artiste, etc.
● Contrat de communication:
Le récit d’expérience a une visée d’« information » (relater, évaluer) : le je veut mettre à distance son expérience et la communiquer au tu. Le je est légitimé dans sa position par son savoir d’expérience, le tu se trouve dans la position de « désirer savoir » parce qu’il n’a pas pu faire la même expérience individuelle que le je, voire ne l’a pas vécue (méconnaissance de l’œuvre culturelle). Même si l’appréciation est motivée par des arguments, le récit d’expérience ne vise pas prioritairement à convaincre le tu ou à le faire adhérer au point de vue du je. Le caractère personnel du genre implique le respect d’une certaine authenticité, une réflexivité du je ainsi qu’une recherche d’intelligibilité pour le tu qui n’a pas vécu la même expérience.
1 FESeC. (2015). Genres. Description, grilles d’évaluation et exemples. Bruxelles, Belgique : FESeC : 71.
● Caractéristiques formelles
- Énonciation ancrée dans la situation de communication.
- Structure discursive à dominante informative/narrative avec une séquence argumentative pour motiver l’appréciation
- Organisation :
● présentation de l’œuvre : reproduction intégrale de l’œuvre (œuvre courte) ou éléments du paratexte de l’œuvre (œuvre longue) avec éléments d’identification ou données diverses permettant d’identifier l’œuvre ;
● récit de la rencontre et du contexte (cadre, intention, conditions de réception, etc.) ;
● argumentation de l’appréciation.
- Procédés pour développer l’argumentation :
● raisonnements de type illustration : recours à des critères de jugement fondés sur des valeurs esthétiques (le beau / le laid, l’originalité ou le caractère stéréotypé, l’harmonie ou l’éclatement, etc.), affectives (les plaisirs / les déplaisirs, les émotions, le sensible, etc.), pragmatiques (l’utile, le préférable, l’efficace, etc.), morales (le bien / le mal, la conformité
/ la transgression, l’engagement, la liberté, la solidarité, etc.) et épistémiques (le vrai / le faux, le pertinent / le non pertinent, etc.) illustrées par des caractéristiques de l’œuvre ;
● raisonnements de type comparaison avec d’autres expériences ou œuvres.
- Les motifs d’appréciation de l’œuvre culturelle : en fonction de la nature de l’œuvre, voici une liste non exhaustive de motifs d’appréciation :
● aspect économique (couts liés à l’œuvre) ;
● aspect pragmatique (durée, accessibilité, etc.) ;
● aspect didactique (adéquation pour un public scolaire) ;
● aspect culturel (connaissances apportées) ;
● aspect esthétique (caractéristiques de l’œuvre) ;
● etc.
- Mise en page type (conventions de la lettre).
Corine-5811 a été choisi pour la rédaction de ce texte.